ça fait 2 ans que les gamins creusent le jardin a la recherche des œufs de Pâques.
je serai content qu'ils arrivent a finir la piscine avant la fin de l'été!
nouveau sandwich au McDo cette semaine: merguez, harissa, semoule.
-Ha!! c'est quoi comme sandwich?
-le Mac grébin 😆
Un homme ivre se fait arrêter au volant par un policier.
- Monsieur, vous sentez l'alcool à plein nez !
- Monsieur l'agent, ouvrez le bouchon de mon réservoir, ça sent l'essence à plein nez mais on ne peut pas dire qu'il est plein.
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- Dis bonjour à la dame et fais-lui un bisou.
- NON !
- Allons pourquoi ne veux-tu pas embrasser la dame ?
- Papa a essayé hier et il a reçu une paire de gifles !
Les mathématiques, ça explique tout...
Dernièrement, je me suis demandé ce que voulait dire, se donner à 100%?
Et comment font ceux (ou celles) qui se vantent de se donner à PLUS de 100% ?
Voici une explication scientifiquement prouvée qui peut donner à réfléchir...
Si l'on considère que :
A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z
Correspondent à :
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26
Alors faisons des comparatifs :
- T R A V A I L = 20+18+1+22+1+9+12 = 83%
- E N G A G E M E N T = 5+14+7+1+7+5+13+5+14+20 = 91%
- C O M P E T E N C E = 3+15+13+16+5+20+5+14+3+5 = 99%
On s'approche du résultat, n'est ce pas ?
Alors continuons :
- A T T I T U D E = 1+20+20+9+20+21+4+5 = 100%
- D I S C I P L I N E = 4+9+19+3+9+16+12+9+14+5 = 100%
Impressionnant, non ?
Continuons donc :
- V A N T A R D I S E = 22+1+14+20+1+18+4+9+19+5 = 113%
Là, on vient de péter le 100% !
Voyons jusqu'où cela peut nous mener...
- LECHER LE CUL = 12+5+3+8+5+18+12+5+3+21+12 = 120%
- CIRER LES POMPES = 3+9+18+5+18+12+5+19+16+15+13+16+5+19 = 133%
- SUCER LE BOSS = 19+21+3+18+12+5+2+15+19+19 = 173%
Alors la prochaine fois que quelqu'un (e) vous dira :
« Moi, dans mon travail, je me donne à plus de 100% »
Vous saurez pourquoi !!
Excellent ... c'est beau les math !!
c'est souvent vrai
Je ne suis pas particulièrement religieux, ... mais il y en a une à laquelle j'ai tendance à croire
A partir de maintenant je crois en l' Islam...
Un copain est arrivé à m'attirer à la mosquée qui se trouve dans un quartier "arabe" de Bruxelles ... pour la première fois de ma vie, j'y pénétrais et je fus reçu agréablement par le grand ... prêtre ou grand vizir ou ... je ne me souviens plus comment ils l'ont appelé, mais un garçon très sympathique.
Il m'a pris en main et m'a directement affirmé me convertir à l' Islam. J'ai donc participé à leurs pratiques et le grand ... truc ..(?) s'est approché de moi, met ses mains sur ma tête et s’exclame d'une voix forte :
- «VOUS ALLEZ MARCHER !!!»
Je lui répondis que je n’avais aucun problème de motricité. Mais Il ignore ma remarque et hurle encore d'une voix plus forte:
- «VOUS ALLEZ MARCHER !!!»
Là je refais une tentative pour lui expliquer que je n’avais aucun problème de marche, mais en vain…. Il répétait de plus en plus fort :
- «VOUS ALLEZ MARCHER !!!»
Bon, pour ne pas risquer de le vexer, je n'ai pas insisté et lui ai dit :
- «Ok, d'accord, je vais marcher ! ... plus tard !»
Après les prières, je suis sorti et que croyez-vous qu'il advint ?
Il avait raison ce con, on m’avait piqué mon vélo !!!!
Un paysan occupe toute la largeur de la route avec son tracteur.
Ça énerve un jeune type qui le suit dans une superbe voiture de sport et qui, l'occasion se présentant, met les gaz et double le tracteur en trombe et hurle au paysan en montrant son capot :
"il y a 200 chevaux là-dessous".
Il va si vite qu'il loupe le virage suivant un peu serré et tombe dans un étang....
Quelques minutes plus tard, le paysan arrive à sa hauteur :
"Alors, on fait boire ses bêtes ???".
Le jour précédant son mariage, un gars dispute un match de rugby avec ses potes.
Manque de chance : au cours d'une mêlée ouverte, il se fait marcher sur les parties.
Souffrant le martyr, il demande à quitter le terrain et se fait conduire chez le médecin.
Ce dernier lui dit :
- Je ne peux pas faire grand-chose pour vous, sinon vous prescrire un antalgique et vous envelopper le pénis dans de la ouate, coincé dans une attelle.
Le lendemain soir, c'est la nuit de noces et la jolie jeune mariée sort de la salle de bains dans un déshabillé sexy qu'elle soulève jusqu'aux seins en disant :
- Regarde chéri comme ils sont beaux : aucun homme ne les a encore touchés. Je les ai gardés intacts rien que pour toi ce soir !
Alors le rugbyman répond du tac au tac en baissant son pantalon :
- Et ça ma chérie, regarde : encore dans l'emballage !
Celle-ci remonte à l'époque où les wagons de train n'avaient pas encore de couloir, mais que chaque compartiment avait sa propre porte côté quai.
Donc, dans un de ces compartiment (quel suspens !) un brave curé de campagne lit son bréviaire alors qu'en face de lui une bonne soeur récite son chapelet (ça devient insoutenable !).
Bien sûr, pas de couloir = pas d'accès aux W-C (qui d'ailleurs n'étaient pas présents dans ce type de voiture).
Au bout d'un long moment, le curé qui depuis plus d'une demi-heure se trémousse sur sa banquette (en bois à l'époque) : Pardonnez-moi ma soeur mais j'ai une envie pressante que je ne peux plus contenir; auriez-vous l'amabilité de vous tourner pendant que je vais, à ma grande honte croyez-le bien, me soulager par la fenêtre.
- Mon Père, nous sommes tous et toutes créatures du Seigneur avec nos propre faiblesses, je vous en prie je vais tourner le dos.
Heureux le curé fait sa petite commission par la fenêtre et se rassied, béât et soulagé.
Un peu plus tard la soeur s'adresse au curé : pardonnez-moi mon père, je suis à mon tour victime de la même faiblesse, puis-je vous demander le même service ?
- aucun soucis ma soeur.
Et le curé de se tourner dans l'autre sens. Au bout quelques instants, après avoir entendu sa compagne de voyage retrousser son vêtement et prendre une position qu'il estime très inconfortable; un joli pèt se fait entendre. Puis la soeur redescend de son perchoir et s'installe à nouveau sur la banquette, affichant le même minois que son compagnon précédemment.
- Ma soeur, la petite commission me paraît tout à fait naturelle, mais le gaz qui s'en est suivi me semble assez inconvenant.
- Mon père, vous les hommes, la dernière goutte, vous la secouez, nous les femmes, nous la soufflons.