😆

Un homme dans une montgolfière se rend compte qu'il est perdu. Il vole à basse altitude à la recherche de quelqu'un pour lui indiquer sa route.
Apercevant un homme dans un champ, il descend à un mètre au dessus du sol et demande:
- Excusez-moi, pouvez vous me dire où je me trouve ?
L'homme répond:
- Oui. Vous êtes dans une montgolfière, à un mètre au dessus du sol.
- Vous devez être un ingénieur ? répond le gars perdu.
- C'est vrai. Comment avez-vous deviné ?
- Tout ce que vous m'avez dit est techniquement exact, mais cela ne m'a pas aidé le moins du monde.
L'ingénieur dit alors:
- Vous, vous devez être un manager ?
Étonné, l'homme de la montgolfière répond:
- Exact. Comment avez-vous deviné ?
- Facile: vous ne savez pas où vous êtes, ni où vous allez, mais vous vous attendez à ce que je vous aide. Vous êtes dans (la merde) la même situation qu'avant notre rencontre, mais maintenant, c'est de ma faute....

j'adore 😎

Quelle est la différence entre le temps et l'éternité ?
- Si je prenais le temps de te l’expliquer, il faudrait une éternité pour que tu la comprennes.

Empruntée à un célèbre almanach rouge.

Un gars complètement bourré sort d'un bistrot et se dirige vers le parking. Il s'affale à moitié sur une voiture et commence à en caresser le toit; au bout d'un moment :
- non, c'est pas celle-là
Il s'accroche alors à la voiture d'à côté et recommence à lui caresser le toit,
- non c'est pas celle-là
Le patron du bistrot, qui, un peu inquiet, à suivi du regard son client, le voit recommencer son manège avec un troisième véhicule,
- non c'est pas celle-là non plus.
Le patron s'approche et lui demande comment il compte s'y prendre pour reconnaître sa voiture, rien qu'en lui caressant le toit.
- c'est pas compliqué, répond le gars entre deux hoquets, sur le toit de la mienne, il y a un gyrophare bleu.

Bonsoir,

Je dois d'abord fixer le contexte de cette histoire afin de ménager les éventuelles susceptibilités. En effet, c'est une histoire belge qui date d'il y a presque un siècle et qui se racontait dans nos villes wallonnes (partie sud et francophone du pays).

Un peu d’histoire avant de rigoler.

Il faut dire qu’à cette époque, la Wallonie était riche de ses mines de charbon, de son industrie sidérurgique (faut dire aussi qu’à cette époque, un certain Mittal n’était pas encore passé ni par la Wallonie, ni ‘par la Loraine avec ses sabots’) et donc, cette partie du pays était prisée par les populations pauvres des sans-emplois, dont des Italiens mais également des paysans et ouvriers Flamands venus du nord de la Belgique. A cette époque, le niveau d’instruction du milieux rural et ouvrier était peu élevé, que ce soit au nord comme au sud du pays, également que ce soit en Belgique comme en France ou en Suisse, … le début du 20ème siècle fut le même pour toutes les provenances. Mais, il est bien connu que le pays (ou la région) accueillant, est toujours peuplés des plus malins que les autres !!!
Ainsi donc, les ouvriers Wallons, se firent un plaisir de ridiculiser et « faire marcher » leurs condisciples …. qu’ils considéraient bien moins malins qu’eux. C’est de là et de cette époque que débuta les histoires belges mettant en oeuvre des Italiens bornés et des Flamands idiots.
Les temps ont changé de l’un et l’autre côté de notre frontière linguistique, en Belgique comme en France et même en Suisse, les gens sont devenus intelligents (pas toujours, mais soyons indulgents), pourtant les histoires ont la peau dure et restent comme l’Histoire !!

J’ai un excellent ami en Flandre, et quand nous nous rencontrons, on se raconte nos histoires de Flamands et de Wallons. C’est amusant, ce sont les mêmes transposées chez les sudistes comme chez les nordistes, au point que souvent on en arrive à inverser les rôles et je lui raconte des histoires où les Wallons se font couillonés et lui des histoires où ce sont les Flamands qui sont cons. Cela augmente encore nos rires et notre bonne humeur en pouvant dire à la fin « Ah ah ! Celle-là, je la connais … un peu changée, mais ! ». Dommage que vous allez rater l’accent belge qui, pour ce genre d’histoire, ajoute du croustillant.
Bref, pour garder mes habitudes, le malin sera le Flamand qui parle un mauvais français et le con sera le Wallon qui radote en bruxellois. Donc …..

C’est un mineur Flamand qui descend dans le « trou » avec son collègue Wallon, déjà depuis deux ou trois semaines et comme à l’habitude du moment, on déballe ses tartines à midi qu’on mange accoudé au chariot de transport. Le Wallon remarque que son collègue mange un sauret (hareng salé et fumé) tous les jours et que dès qu’il a fini, il emballe très proprement et délicatement l’arrête de son poisson qu’il replace dans sa gamelle qui rejoint sa musette. Intrigué, après quelques hésitations, le Wallon demande au Flamand :
- « Mais, saperlipopette, pourquoi tu ne jettes pas cette saloperie dans la mine comme tout le monde et que tu ramènes chez toi ton arrête ? »
- « Pourquoi ?? » Répond le Flamand, … « Mais tous simplement parce que l’arrête est pleine de phosphore qui rend intelligent et que je ramène cela à mes enfants qui deviendront intelligents »
- Le Wallon : Ha bon !! Ca je savais pas !! …. Et tu pourrais me donner ton arrête pour que je devienne aussi intelligent, comme tes enfants ?
- Le Flamand : Là, c’est un peu plus compliqué, parce qu’alors, je vais en priver mes enfants et je devrai en acheter un peu plus pour avoir assez d’arrêtes. Mais si tu m’achètes mon arrête, je pourrai compenser et en garder assez pour eux !
- Le Wallon : Chouette, on peut commencer de suite, … combien pour ton arrête ?
- Le Flamand : Pour 14 centimes je te la laisse bien volontiers (les francs était encore lourds à l’époque !!)

L’affaire se fait, le Wallon reçoit son arrête qu’il mange sur le « tas ». Et les choses se passent ainsi pendant plus de huit jours.
Mais, le neuvième jour, le Wallon arrive au trou, en tirant une assez mauvaise tête et … fait résolument la gueule au Flamand … qui lui demande :
- Il y a quelque chose qui ne va pas ? Tu en tires une tête ?
- Le Wallon lui répond vertement : Ben tiens donc … j’ai constaté que tu me roules, … en passant au magasin chercher de la bouffe, j’ai vu tes saurets en vente, et ils sont affichés à 14 centimes. En me vendant ton arrête, tu me fais payer le prix de tout ton sauret entier, c’est malhonnête !
- Le Flamand répond : Mais non, … tu vois que cela marche et que tu deviens plus intelligent !!

Il y a bien certainement une suite ….. Parce que … quand même, le Wallon s’est vengé quelques décennies plus tard. Il a fait remarquer à son collègue Flamand que lui, sortait de sa musette quelque chose qui contenait du café bien brûlant, au point qu’il fumait encore. Alors que lui, le Flamand, arrivait au boulot et sortait son bidon en fer avec du café froid. Quelques jours ont suffi pour attiser la curiosité du Flamand qui lui demande :
- C’est quoi, là, … ton truc qui arrive à garder le café si chaud ?
L’occasion de la vengeance était trop belle, et pour ne pas lui dire que c’était une des premières bouteilles thermos du commerce, le Wallon lui dit :
- C’est une capote … tu trouves cela dans une pharmacie !
- Ok, répond le Flamand, ce soir je passe à la pharmacie acheter une capote.
Ainsi fut fait, le Flamand entre dans la pharmacie et réclame une capote, que lui remet le pharmacien. Le flamand regarde cela d’un œil critique et dit :
- Mais “potferdek” qu’est ce que tu veux que je fasse avec ce petit truc, quand moi, je descends dans le trou, c’est pour huit heures !

https://www.youtube.com/watch?v=su2NRu6OGW0

Excellent, ..... un bon Belge ....

Un autre de ses spectacles .... presque encore meilleur !!

https://www.youtube.com/watch?v=u4D1N6uA_Sg

A+ Serge

je vous le livre comme je l'ai reçu. sans avoir l'envie de heurter quelque opinion politique que ce soit

Un apophtegme est un précepte, une sentence, une parole mémorable ayant valeur de maxime. exemples:

L'homme descend du songe (Georges Moustaki)
Elle était belle comme la femme d'un autre (Paul Morand)
L'enfant est un fruit qu'on fit (Leo Campion)
C'est curieux, se faire refaire les seins, ça coûte la peau des fesses (Vincent Roca)
Quand il y a une catastrophe, si on évacue les femmes et les enfants d'abord, c'est juste pour pouvoir réfléchir à une solution en silence
Vous connaissez l'histoire du mouton qui court jusqu'à perdre la laine ?
Si vous m'avez compris, c'est que je me suis mal exprimé (Alan Greenspan)
L'ennemi est bête, il croit que c'est nous l'ennemi, alors que c'est lui (Pierre Desproges)
Vous n'êtes pas responsables de la tête que vous avez, mais vous êtes responsables de la gueule que vous faites.
Elle est tellement vieille qu'elle a un exemplaire de la Bible dédicacé.
Quand Rothschild achète un Picasso, on dit qu'il a du goût. Quand Bernard Tapie achète un tableau, on demande où il a trouvé les ronds…
Si la Gauche en avait, on l'appellerait la Droite (Reiser).
De nos jours, l'assistance à personne en danger se résume à assister au danger...
N'attendez pas la solution de vos problèmes des hommes politiques puisque ce sont eux qui en sont la cause (Alain Madelin)
Les prévisions sont difficiles, surtout lorsqu'elles concernent l'avenir.
Quand un couple se surveille, on peut parler de "communauté réduite aux aguets".
Et cette dernière, plus que jamais d’actualité :
Les socialistes ont eu tort de venir au pouvoir. Ils auraient dû faire comme Dieu: ne jamais se montrer pour qu'on continue à y croire (Coluche).

Qu'est-ce qui fait nioc-noic ?
Un canard qui essaye de parler le verlan.